Les Enfers, divisés en sept continents pour chaque péché, conservent les âmes impies devant se repentir. Mais les démons et autres créatures n'ont pas le même but...
 
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The wrong side of Heaven

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Anonymous

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MessageSujet: The wrong side of Heaven The wrong side of Heaven EmptyDim 28 Aoû - 16:55

« A Beast’s Wrath»









« Cross my path »


NOM(S) : Nivar
PRÉNOM(S) : Abason
SURNOM(S) : « La bête », « L’abomination », « Le déchainé », « Sans-cœur », « L’écorcheur », … , « Souverain de la colère »

ÂGE : Oublié
SEXE : Homme
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel

RACE : Ange Déchu
PROBLÈME(S) DE SANTÉ : Une cicatrice sur le crâne, une marque divine, qui lui provoque grande douleur lorsqu’il cède à son péché.

POUVOIRS ET ARMES : Ancien ange aux pouvoirs de la terre, tout ce qu’il garde de cette époque désormais est un corps robuste et résistant. Les sorts lié à ce pouvoir ne lui sont pas inconnu mais ils ne sont pas souvent utilisé car peu satisfaisant.
Ayant pleinement épousé sa nature démoniaque, son pouvoir lié à la colère est une métamorphose progressive. Au plus il se bat et se blesse, au plus la bête ressort, gagne en puissance et est destructrice. Abason est également tellement investit par la rage que sa volonté de se battre est gigantesque. Même gravement blessé, il se relève encore et encore.

Il se bat aux poings et aux griffes et utilise parfois les chaines qui lui traversent le corps comme seul armes.

ALIGNEMENT : Mauvais Neutre
VOTRE PÉCHÉ : Colère
GROUPE : Démon
RANG : Souverain de la colère


« Fear my wrath »








« In the Belly of the Beast »


Abason a bien changé depuis sa chute aux enfers, un changement radicale et impie. Lui qui était autrefois un ange, un être respecté, apprécié, adoré et admiré par les humains comme par ses congénères n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même. On le voyait comme un père, sage et prévoyant bien que le seul véritable père veillait sur tous de plus haut encore. Mais parlé de sa personne passée ne nous importe plus réellement désormais. Tout ce que cela risque de produire est d’enrager le grand Abason.

Oui, enrager … Abason, ange déchu ayant triomphé de tous les obstacles pour se hisser dans la demeure du diable lui-même a bel et bien mérité son titre de souverain de la colère. Quoi que ? Qu’attendez-vous du souverain de la colère, exactement ? Un grand guerrier sans pitié et qui ne connait que le combat, les cris de guerres, l’amertume et les écartelages ? Parfois, il y a un peu de ça et pourtant, celui que l’on peu surnommer la bête peu parfois paraitre bien … Calme.

Calme. Un mot en total opposition  avec le péché qui l’anime. Abason apparait comme un homme meurtrie, une victime affligée. Son corps et sa tenue n’ont plus aucune noblesse et sa beauté d’ange s’est évanouie dés l’instant où on l’a marqué au fer. Les chaines sur son corps et, à certains endroits, ancré dans sa chair prouvent qu’un jour, il a tenté d’arrêter la progression du démon en lui, en vain. Mais peut-être est-ce encore à cause d’elles qu’il ne cède pas constamment à la colère, ce qui est une bonne chose pour, parfois, interagir avec le peuple des autres péchés. Ces chaines enchantées lui font garder la tête sur les épaules, un peu. Ainsi, il a l’air froid et inquisiteur, cruel mais capable de supporter quelques mots avant de serrer les dents dans un geste haineux. Calme. Un bien grand mot pour décrire cette facette de lui mais une réalité lorsque l’on sait que son péché le ronge constamment la moelle, un vrai exploit.

Ce « calme » l’empêche d’être violent constamment, l’empêche de couper quelqu’un dans son discours d’un grand coup dans la figure, un calme qui l’apaise un temps soit peu mais cette barrière est très fragile et sa patience relativement petite. De longue et belles paroles peuvent être supportable si c’est un mal nécessaire mais les divagations sans but et dont le simple intérêt est un quelconque divertissement sont tout simplement proscrit. Abason est un être qui va droit au but, qui n’aime pas passer par quatre chemins et qui ne mâche pas ses mots. Parler est même une souffrance en elle-même puisqu’aucun mots ne semble assez fort pour décrire tout ce qu’il aurait à décrire. Sa haine, sa colère, sa vengeance, son règne qui est un calvaire pour lui. Et le fait que les mots n’arrivent pas à exprimer son désarrois et aussi une torture, lui qui aimerait hurler des enfers jusqu’aux cieux à quel point cette fameuse « Justice divine » n’est qu’une manière de plus de planter des couteaux dans le dos …

De son point de vue … Parler ne règle plus les problèmes. Il a essayé, encore et encore jusqu’à céder lorsqu’il vit que cela n’allait pas ramener les êtres cher à son cœur prés de lui. Le Souverain de la colère était déjà un guerrier du temps où il était chez les anges, le bras armé de Dieu … Désormais ne valant pas mieux que les démons, il met enfin ses pratiques militaires à l’œuvre pour régler les conflits et en même temps, soulager cette pression qui s’accumule constamment dans son corps et son esprit. Ce « calme » qu’il conserve a un prix à payer. Souvent, parfois plusieurs fois par jour, Abason doit laisser éclater sa rage au risque de perdre définitivement pied avec la réalité, aussi fragile soit-elle en enfer. Sa politique de la force est aussi un acte égoïste pour se donner pleinement le droit d’exprimer la bête en lui, la rassasier et l’empêcher de sortir à nouveau car … Si la bête est puissante et appuierait d’avantage son autorité en Ira, le fait d’être possédé par cette chose lui inflige d’indescriptibles souffrances. Physique, mentale … Autant les marques de combats ne le dérangent pas, le galvanise même, autant la souffrance provoqué par sa transformation est … Quelque chose d’autre. Il peut être vu comme un sadiste, un masochiste, la colère rendant son corps insensible ou même stimulé par les stigmates de la guerre mais ça, cette punition divine, il ne souhaite pas la supporter constamment.

Mais malgré ses accès de rage, il n’est pas une bête sans cervelle pour autant. Bien qu’un peu « bourrin » dans ses manières, bourrin car désireux de libérer sa colère, l’ange déchu reste quelqu’un qui connait sa place dans l’univers, ainsi que celle de toute autre personne. Il n’est pas fourbe ou manipulateur, pas nécessairement. Il l’est quand il le faut, pour garder les humains en son domaine, mais autrement il faut preuve d’une certaine loyauté dans les rares personnes qui ont gagné son respect, bien qu’elles sont très rare. Ce qui motive ce seigneur à avancer est la vengeance. Vengeance contre Dieu ainsi que le Diable lui-même. Si son but avait été la conquête ou quelque chose de similaire, sans doute aurait-il essayé de semer le chaos aux quatre vents mais ici… Puisqu’il désire uniquement retrouver le diable pour un jour le réduire à néant de ses propres mains, il reste ouvert à la collaboration, tant qu’elle n’est pas trop agaçante pour lui. C’est sans doute pour cet aspect là qu’on peut le qualifier de Mauvais Neutre et non de Mauvais Chaotique.

En résumé, Abason est un souverain valorisant les valeurs militaire, la force. En réalité, c’est une politique Egoïste qui lui permet de relâcher la pression le plus souvent possible, même si fondamentalement, c’est une politique adaptée pour les démons de la colère et les humains ayant péché. Mais malgré ces lois un peu barbares, il prend l’apparence de quelqu’un de réfléchit, calme bien qu’affligé et surtout froid. Quelques mots échangés ne promettent pas qu’il soit agréable, loin de là mais au moins, il reste quelqu’un avec qui on peut résonner ainsi. Cependant, un mot de trop pouvant réveiller sa susceptibilité cachée, en lien avec son passé, ou tout simplement si vous commencez à l’agacer et là, il ne répond plus de rien et laisse peu à peu sa colère prendre certaines proportions. Grognements, paroles sèches, insulte et après ça, si un simple coup n’a pas suffit à assommer la nuisance … Mais il faudrait être fou pour cela, sa réputation le précède. On sait qu’Abason n’est pas un homme à qui on peut chercher des problèmes et s’en sortir indemne après.






« Abomination »


Abason ne ressemble, à première vue, ni à un ange ni à un démon mais bel et bien à un simple homme, mutilé ici et là à certains endroits, certes, mais un humain normal tout de même. Un grand homme de bien deux mètres de haut, voire plus, à la musculature finement tracée entre les dizaines de cicatrices qui recouvrent son corps, un corps sec et abimé… Si un jour, il fut été un ange, la beauté que l’on associe avec ce genre de personne s’est depuis longtemps fanée. Là où il prenait soin de son corps, il le laisse désormais à l’abandon, ne soignant plus ses plaies, ne faisant plus attention à aucun petit détail qui pourrait améliorer son image.

Cette apparence pourrait porter préjudice à son rang et pourtant, cela incarne parfaitement ce qu’il est censé représenter … Ses cheveux ont été arraché, brulé, voir même scalpé à certains endroits, ne lui laissant que quelques mèches, longues, sur le côté droit du visage. De l’autre, une marque plus imposante que les autres, un énorme « A » marqué au fer rouge, une punition démoniaque pour être un ange dans ce monde corrompu. Le blanc de ses yeux est devenu sombre, noir de haine et ses pupilles luisent désormais d’une lueur rouge. Ses joues sont creuses, sa pilosité faciale est chaotique. Son auréole d’ange, apparent parfois lorsqu’il utilise ses pouvoirs, n’est plus qu’un anneau fade et à peine lumineux de rouge alors que ses ailes d’anges ont été arrachée… Tant de signe qui montre sa déchéances, son non-respect de sa propre personne, sa beauté évanouie.

Pour ce qui est du style vestimentaire, encore une fois, il n’est pas digne de son statut. Pas de manteau, de veste ou de costume chic, rien d’affriolent, rien de réellement marquant … Pourquoi devrait-il bien paraitre ? Il a abandonné l’idée de plaire depuis longtemps et il n’a que faire de son image dans la société. Le respect de sa nation, il l’a gagné par ses longues croisades à travers le continent, par sa force et son titre de créature increvable. Ainsi, il voyage la plupart du temps torse-nu avec une cape sur le dos, qu’il tire souvent nerveusement vers l’avant. De simples guenilles  arrachées ici et là en guise de pantalon, une ceinture de chaine et … Peut-être le plus farfelue des accessoires, un attirail de chaine. Ses chaines sont ancré dans son corps à plusieurs endroits, lui traversant le flanc comme une épaule. Une autre preuve de son passé d’esclave qui le mena vers la voie de la colère. La peau a cicatrisé autour de ses chaines et font désormais pleinement partit de lui, pour le meilleur et pour le pire.

Cependant, Abason possède une deuxième forme. Une forme qu’il a hérité lors de sa corruption et lorsqu’il a décidé de pleinement embrassé la rage, la violence, la brutalité, le massacre et surtout la vengeance. Le souverain de la colère garde en son apparence humaine au quotidien mais lorsque la colère se met à rugir en lui, la bête se rapproche. Au plus il est en colère, au plus sa transformation prend lieu. Abason se voit pousser des cornes, sa bouche se transforme en gueule aux crocs acérés, sa musculature se développe et se voit parcourir de veines luisante. Ses doigts et ongles deviennent de robustes griffes et ses jambes se brisent pour prendre une forme digitigrade. Cette forme bestiale peu s’empirer encore à force de combattre, se changeant d’avantage en abomination où la description deviendra plus spécifique  lors de ses moments.






« Descent into hell »


Abason. Un nom connu déjà dans les cieux et pour cause … L’un des seraphins de Dieu portait ce nom. Il était l’une des mains armées du seigneur, son glaive et son bouclier était prêt à rendre justice contre les ennemis du tout puissant ou prêt à tout simplement obéir aux moindres ordres du père que tout le monde estimait et aimait. En ce sens, Abason eut une histoire relativement similaire à tant d’autre anges. Il était l’un des fils, il a été créer pour être un ange, un être peut-être pas parfait mais proche, qui œuvrait pour le bien du paradis comme pour le bien des humains. Pour respecter la balance… Pour garder un œil sur les agissements du Diable, toujours être prêt à riposter, à conjurer les démons trop ambitieux.

Parfois, sous le domaine des cieux, des miracles se produisaient. Ses miracles étaient des actes, des actions, événements uniquement réalisable par la grâce de Dieu. Des actions que de simples humains jamais n’auraient pu accomplir. Ses miracles permettaient à l’humanité de garder la foi et de se tourner vers un avenir meilleur, plein d’espoir et de vertu. Ses miracles, cependant, n’étaient pas forcement tout le temps dirigé par la main du seigneur. Il les commanditait mais la plupart du temps, un ange descendait des cieux pour partager ce touché divin.

Un jour, ce fut au tour du seraphin guerrier de devoir fouler la terre et marcher au nom du seigneur. Un honneur et une joie pour n’importe quel ange. Guérir les maladies, sauver des vies durant un accident, un cataclysme … Ce jour, le tout puissant avait partagé de sa clairvoyance avec Abason pour qu’il puisse voir les événements futur. Il vit un accident, la destruction d’un pont qui entrainera avec lui de nombreux blessé et de morts … Mais une sera épargnée. Une pour laquelle le seigneur avait encore des projets et la mission de l’ange était de produire ce miracle, la sauver.
Ainsi, invisible aux yeux de tous, le guerrier veilla sur elle, un ange gardien, et guida la chute de la femme pour qu’elle ne se fasse écrasée par aucun débris, qu’elle ne s’empale pas sur les rocheuses plus bas, qu’elle atterrit sereinement dans l’eau en contrebas et guider ses pas jusqu’à la rive et la civilisation. Il y eut de la peur, des pleures, de la confusion et pourtant, perdue dans un désert, loin de la civilisation dont elle avait rarement quitté les limites, ce petit brin de femme n’a jamais cesser d’avancer. Certes, il était là pour la protéger, comme le voulait le seigneur, mais il comprenait désormais pourquoi elle était si spéciale. Une femme de foi qui pourrait apporter tant de chose à l’humanité et son récit sera racontée de manière à inspirer tout les Hommes, fidèles ou non. Et à force de l’observer et de lire son âme comme un livre ouvert … Il céda petit à petit.

Son cœur n’avait jamais battu de cette façon par le passé. Cette personne était si précieuse, subitement, et la tentation si grande bien qu’il ne pouvait possiblement rien faire, sous peine de décevoir le tout puissant. Mais qu’importe. Abason était conquit. Lors d’une des longues nuits de son périple, la femme pria Dieu comme chaque soir, ayant trouvé refuge dans un petit campement abandonné dans le désert du Mexique. Elle priait pour être guidée, pour rester forte et trouver du réconfort là où cet accident et la nature cruel lui avait peut-être ruiné sa vie comme elle la connaissait. Le grand guerrier posa sa main sur son épaule et apparut devant ses yeux. A cette époque, il était véritablement un ange. Une beauté surnaturelle, une aura de confiance, apaisante et des ailes blanches, grande et resplendissantes. Il lui donna tout ce qu’elle avait besoin : réconfort, promesse, compagnie … Ses intentions n’étaient pas mauvaise, il souhaitait juste qu’elle ne pleure plus, qu’elle ne soit plus malheureuse et … peut-être … Un peu égoïstement, il voulait entrer en contacte avec elle ce qui devait se produire arriva. Le lendemain, la dame se réveilla aux abords d’une ville, comme si elle avait voyagée dans son sommeille jusqu’ici et laissa en mémoire ses moments tendre qu’un ange lui avait procuré, croyant être bénie par Dieu, sous son aile et dans ses bonnes grâce, ayant fait le bien.

De retour dans les cieux, Dieu, omniscient, réprimanda son fils pour avoir trahit sa confiance.

« Peut-être croyais-tu bien faire mais ce n’était pas ma seule volonté que de la sauver. Ce voyage qu’elle entreprenait après l’accident était fait pour mettre à l’épreuve sa foi et lui transmettre un message qu’elle aurait pu rependre à travers le monde. Mais tu l’as sauvé, directement. Son amour pour moi, pour nous est grand désormais, oui, mais elle comptera sur nous pour les épreuves à venir, elle comptera sur les miracles et non plus sur sa propre force, sa propre détermination et son être. Tu as détruis ce que j’avais entrepris et ça pour quoi ? Satisfaire une simple envie ? Une envie que tu n’avais d’ailleurs pas le droit de satisfaire … Va, Abason. Retourne à tes obligations. Cette femme, tu ne la verras plus jamais et bientôt … Elle ne sera plus de toute façon. »

L’ange qui, jusqu’ici, était honteux, désolé, misérable devant son père, finit par relever la tête, choqué, à entendre Dieu sensé si bon et miséricordieux dire ainsi avec une simplicité affligeante qu’elle allait mourir ou pire, ses paroles étant bien intrigante et mystérieuse mais qu’importe, elles ne disaient rien qui vaille pour la nouvelle élue de son cœur.

« O Dieu miséricordieux, ne la punissez pas ! Elle n’y est pour rien dans tout cela après tout ! Je suis le seul fautif, laissez moi prendre son châtiment car tel est mon fardeau, pas le sien ! Ayez pitié ! »

« Je ne choisis pas de tout, mon fils… »

« Non ! VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT ! »

Abason se mit à battre des ailes, serrant les dents, emporté par un élan de colère indigne de lui. Cette femme comptait tellement pour lui. Leur âmes avaient communiqué et bien qu’ils se soient réellement parlé que lors d’une seule nuit, elle avait l’impression d’être en communion parfaite avec elle, de ne faire qu’un, de la voir comme ce qu’elle était, une chose parfaite, plus qu’il ou ses frères et sœurs ne l’étaient. Il ne pouvait pas autoriser que quoi que se soit arrive à son être cher. Cet afflux de sentiment soudain le mena à vouloir lever la main sur son créateur mais les autres anges vinrent le retenir avant qu’il ne fasse quelque chose de concret. Déçu, le père l’envoya, sans mot dire, se calmer sous la tutelle de ses frères.

Même pas une heure plus tard, retenu contre son gré par ses frères et sœurs, Abason rumina encore et encore. Le contacte de ses semblables l’avait calmé un instant mais au plus il y pensait, au plus il ne pouvait se contenter de suivre sa raison. Elle lui disait « Dieu sait mieux que quiconque ce qui est bon. Tu as fauté, tu as cédé à tes envies, c’est de ta faute. Un peu d’humilité, demande pardon à ton père et redouble d’effort pour que la confiance brisée soit de nouveau stable » Mais, de l’autre côté, que Dieu puisse ainsi donner un châtiment si sévère à la femme qui lui avait volé le cœur … C’était … Indigne de lui. Inacceptable. Un acte de cruauté injustifié. Et au plus il y pensait, au plus ses sentiments s’animaient. Il se redressa et voulu passer au-delà la barrière de ses semblables, des gardes. Ils essayaient de le résonné mais Abason ne pouvait possiblement pas arrêter son pas. Il finit par les bousculer et l’altercation prit de l’ampleur, beaucoup d’ampleur. Au plus on lui opposait résistance, au plus on se mettait entre lui et l’élue de son cœur, au plus les barrières tombaient … Au plus il oubliait son bon sens, son sens du jugement, ses vertus et son devoir. Emporté par la rage, la colère, il mit ses semblable au sol un par un … Jusqu’à commettre l’erreur de trop et se mettre à frapper au sol son frère d’arme le plus proche, le battre jusqu’à l’inconscience et la mort.

Lorsqu’il rouvrit les yeux après avoir réalisé son acte horrible, il n’était plus au paradis mais dans un désert désolé. Il regarda ses mains ensanglantées, tremblant, horrifié par ce qu’il avait fait. Une douleur horrible lui prit aux tripes et en baissant le regard, il réalisa que des chaines lui passait désormais dans le corps. Il regarda vers le ciel noir, où toute étoile ou moindre lueur étaient absentes. Il se mit à implorer le pardon de ses frères et du tout-puissant … Et tout ce qu’il entendit en retour était une dernière pensée du seigneur.

« Tu as perdu la foi, mon fils et tu t’es abandonné au péché. Que tu ne me fasses pas confiance me déçois, ainsi que tes actes. Tu m’as mal comprit et au lieu de me demander explication, la colère a noircit ton âme et tu es allé jusqu’à tuer un des tiens. Puisses-tu trouver la paix en ces lieux, Abason, et te repentir… Où y rester à jamais. »

Il n’eut pas le temps de protester, torturé par la honte et le regret que bientôt, il mordit la poussière, une patte monstrueuse le plaquant au sol, dans son dos. Un démon prit un malin plaisir à le voir ainsi misérable et il se mit à lui adresser la parole.

« Abason, mon cher … Bienvenu en enfer. J’espère que tu apprécieras le séjour. Tu es ici sur les terres de la colère mais tu m’as l’air bien calme pour un gars comme toi. Un peu de nerf, très cher ! »

Et il lui donna un grand coup pour le piétiner avant qu’Abason, désormais faible et démoralisé, ne tourne l’œil vers lui.

« J’ai fauté, c’est vrai … J’ai laissé la colère m’envahir et ma passion me dominer …Mais je le regrette. Je … Je ne compte pas rester ici. Je ne vous laisserez pas m’embrouiller l’esprit, démons. »

«Voyez-vous cela … Et … Si je te disais que ta bien aimé est ici ? »

« Quoi ? Non … Impossible ! Pas ici ! … »

« Ton Dieu n’est pas aussi bon qu’il ne le prétend, Huahahaha ! … Tu veux la voir ? »

« Je nous sortirais tous les deux d’ici ! » L’ange désormais déchu voulu se relever mais le démo vint abattre ses serres une nouvelle fois sur son dos dénudé, le griffant au passage.

« Pas question, mon gars ! Personne ne sort d’ici. Et si tu veux voir ta chérie, il faudra le mériter ! »

D’autres démons vinrent à ses côtés, visiblement décidé à le rendre misérable ou … à vouloir éveiller sa colère, comme il semblait en être tellement investit. Il désirait honnêtement se repentir mais en apprenant que sa bienaimée était ici … Ses intentions avaient immédiatement changés. Dieu pouvait aller se faire voir. Il lui avait fait comprendre qu’il avait fait une erreur, qu’il avait été peut-être un peu vite en besogne mais … Apprendre qu’elle est désormais ici, en enfer ? Dieu pouvait mourir, il l’avait trahit et non pas l’inverse. Il essaya de se débattre, frappé, lacéré mais il finit maintenu sur le sol poussiéreux, un de ses êtres impurs s’approchant de lui avec un fer rouge. Un grand A brulant qui vint appuyer sur un coté de son front, le marquant à jamais comme étant un ange indigne et corrompu. Il hurla de douleur et pourtant, il gardait son air déterminé, comme si la douleur n’était pas un facteur décisif de sa résignation. Marqué, le sang coulant sur son visage défiguré, il frappa le sol pour se relever malgré tout, bravant la force des démons … Et à cet acte de rébellion encore un peu faible à leur gout, ils vinrent lui tirer les ailes, les abimés, les tailladé et finalement les arrachés. Il l’endura mais ne su complétement l’encaisser … Il serra les dents après presque avoir perdu conscience mais la douleur et la frustration de savoir l’élue de son cœur en enfer… il finit par se redresser d’un bond en écartant les démons autour de lui.

« Et bah voila ! C’est ça qu’on aime bien voir, nous, ici ! ALLER ! APPROCHE ! »

Mais là où il croyait avoir l’avantage et faire face à une âme damnée comme les autres, Abason laissa sa volonté et sa colère parler pleinement. Tout ce qui comptait pour lui désormais était de retrouver son aimée ici et la sortir d’ici, aussi irréaliste cette pensait pouvait être. A chaque provocation, traitant sa bienaimée de bien des noms, sa haine grandit et petit à petit, alors qu’il se battait à main nue contre les démons ainsi qu’avec ses chaines, son corps meurtri et mutilé changea. Il devenait plus fort de minutes en minutes alors que ses muscles se développaient, ses crocs grandissaient et des cornes commençaient à pointer hors de son crâne. La colère le gagnait pleinement. Après un long carnage, l’ange continua sa route dans ce grand désert de feu, trainant avec lui un des démons qu’il tenait par le cou jusqu’à ce qu’il lui donne une indication sur où était sa tendre. Décapité par la suite, par la seule force de sa poigne, la tête ricana derrière lui, comme si tout se déroulait comme prévu malgré sa mort certaine.

Il entreprit un long voyage dans les enfers, faisant abstinence d’en connaitre plus sur les lieux pour se focaliser sur ce qui l’obsède désormais … Retrouver son être cher, ayant plongé tête baisser dans le piège des démons et, optionnellement, faire payer à dieu… Non. Cela n’allait pas être une option. Dans son état d’esprit, il n’était pas possible, une seule seconde, qu’il pardonne au seigneur d’avoir fait du mal à un être aussi pur et juste que la femme qu’il a rencontré et communié avec. Les jours, les heures, les siècles passaient, il n’en savait rien … Il ne savait plus si une heure était des années ou des secondes mais il continuait à avancer, encore et encore, et à tabasser tout ce qui se dresser sur son chemin alors qu’il se dirigeait sur ce qu’il croyait l’antre du diable, à tort, sans doute.

Durant son long voyage, Abason avait abandonné tout ce qui faisait de lui un ange, la haine consumant jusqu’à ses yeux alors que de temps à autre, durant les combats, une nouvelle nature démoniaque fleurissait. Il se battait avec tant de hargne que ses plaies ne lui faisaient plus mal. Sa haine était si grande qu’il se demandait même si le contacte de sa belle allait l’apaiser comme avant … Et son apparence changeait au fur et à mesure des batails, devenant une bête assoiffée de sang, petit à petit…

Il finit son voyage dans les plaines désertique et chaotique au point convergeant des enfers. Les plus puissants démons de la colère, il les avait détruits, annihilé, explosé, déchiqueté, éventré et même ceux qui étaient proche du diable finir en sang après un affrontement brutal et sauvage. Il s’approchait de la force obscure qui régnait sur ses lieux et il voulut lui bondir dessus, hurlant à plein poumon qu’il voulait qu’on lui redonne sa tendre. Mais de l’ombre, au lieu de voir sortir n’importe quelle forme pouvait prendre le maitre des enfers, abomination ou même une forme plus humaine, Abason fut stoppé net dans son mouvement, retenant ses crocs et ses griffes d’empaler et lacérer ce qui avait devant lui. C’était elle.

La bête recula, subissant encore les spasmes de sa colère inouïe, avant de se calmer et petit à petit essayer de se cacher dans la cape déchiquetée qu’il avait sur lui, couvrant son visage. Honteux de se présenter sous la forme de bête face à elle.

« Je … Tu … Ne me reconnais peut-être pas mais … Je suis là pour … »

« Je sais bien pourquoi tu es là, Abason. »

Il pouvait entendre en sa voix un peu de malice, chose qu’il n’aurait jamais imaginée de la part de celle qu’il a connu, si pur et simple. Il resta un peu pensif, confus pendant quelques secondes, se redressant lentement pour se mettre à grogner.

« Qui es-tu ? Tu n’es pas celle avec qui j’ai partagé … Le plus beau moment de ma vie … Répond … QUI ES TU ?! »

La femme ricana « Je suis ce que j’ai toujours été… »

Chaque mots, chaque petite intonation l’attaquait au plus profond de son âme, à tel point qu’il comprit qui elle était… Qui était assez perfide pour se présenter à lui ainsi.

« Où est-elle ? OU EST MA MOITIE ?! »

« Mais c’est moi, mon cher et tendre Abason … Cela a toujours été moi » La bête prit un air confus à nouveau, choqué. « Dans le désert, au campement abandonné … C’était moi. Et tu n’as rien remarqué … Même Dieu n’y a vu que du feu. »

« C’EST FAUX ! Elle était bien trop pure pour qu’elle puisse avoir été … Le … Diable … » Une tromperie, orchestré par l’être le plus infâme qui soit. La bête se tenait la tête et les cornes, prêt à se les arracher alors que le désarroi le prenait. « Pourquoi … Pourquoi avoir fait ça … Pourquoi moi ? »

« Car tu n’aurais jamais dû être un ange, Abason. Tu étais destiné à me servir, n’est-ce pas évident ? » Elle s’approcha et vint, d’un air charmeur, poser sa main sur la joue de la bête qui se recroquevillait sur elle-même. « Un ange n’aurait jamais tué un de ses frères. Un ange n’aurait pas massacré tous ses démons. Même si ils sont ennemis, un ange aurait épargné les moins fautifs dans un espoir de rédemption. Mais non … Toi … Tu voulais tellement me voir … Tu le souhaitais tellement, du plus profond de ton cœur … Que tu as préféré ne prendre aucun risque et tous les tuer pour qu’ils ne se dressent pas sur ton chemin. Tu as préféré t’abandonné à la colère et … Quelle colère. Mes sujets les plus fidèles gisent désormais sur le sol tel des amas de chair torturé. Tu n’es pas un simple ange ou démon désormais … Tu es quelque chose de bien plus grand … Qui va me servir désormais. »

L’affliction de la bête finit par s’évanouir à ses derniers mots pour revenir sur un regard défiant et à deux doigts de perdre le contrôle. Il avait tout orchestré. C’est lui qui l’a ensorcelé avec cette illusion de femme parfaite, qui l’avait poussé à pécher et y plonger plus profondément encore et encore… Et si c’est ce qu’il désirait tant, il n’allait pas s’arrêter là. Bien qu’il ait prit la forme de cette femme parfaite à ses yeux, il surmonta l’apparence et leva sa patte pour le déchiqueter à son tour dans un hurlement. Mais avant qu’il ne puisse faire ça, il s’évanouit … Pour se réveiller à nouveau en plein milieu du désert, non loin de ce qui semblait être un village. La voix de la femme résonna dans son esprit.

« Tu es désormais mien, Abason. Tu constitueras mon armée et développera les enfers comme l’un de ses souverains »

La bête se releva d’un bond, sur les nerfs, enfonçant ses griffes dans la terre aride et finit par frapper du point avec rage, hurlant tel une bête, l’idée de le servir étant impossible. Mais dès la seconde où il protesta, la marque sur son front se mit à rougeoyer à nouveau et à fumer, la douleur abattant la bête qui se débattait sur le sol jusqu’à ce qu’il ne retrouve une forme plus humaine et meurtrie, jusqu’à ce qu’il ne se calme. Il était soumis au diable dans un plan parfait. Maintenant qu’il était en enfer, il était sous sa tutelle. Comme les humains, il pourrait essayer la rédemption, qu’importe le temps que cela prendrait mais avec ce coup du diable, qui avait créer un être acharné, il continuait de le nourrir de colère alors qu’Abason réclamait vengeance pour cette vie misérable, pour ce creux dans le cœur, pour cette souffrance. Il était sous son emprise, ensorcelé, modelé comme le diable le voulait, en une bête puissante et imbue du péché lui correspondant …

Ainsi, il s’appliqua à suivre les désires du diable, tout en ayant toujours cette idée de revanche en tête. Il vit les démons et les monstres liés à la colère poser un genou à terre à son passage, depuis ce jour. Subitement, il était plus … respecté. Il revit même ce démon qui l’a piétiné dès son arrivée, encore vivant bien qu’il avait séparé sa tête de son corps … Sans doute un de ses subterfuge.

« Prince de la colère, vous connaissez mieux les anges que quiconque… Prévoyez-vous des escarmouches dans le futur ? Est-ce les plans du diable ? »

Il semblait trépigner d’impatience à l’idée de ce battre mais n’éprouvant que du mépris pour les démons, son premier ordre fut encore énoncé sous la bannière de la vengeance.

« Tu seras l’un de mes généraux. Tu m’aideras à préparer les troupes, à développer les villes, à construire les prisons qui garderont les humains en enfer, comme le souhaite le Diable. La guerre des anges n’est pas encore d’actualité … Et… jamais … Jamais plus tu ne te battras. Si tu oses un jour défier cet ordre … »

Et l’ange déchu leva le poing de tel sorte à l’abattre avec une violence inouïe sur la tête du démon, lui faisant cracher du sang, par la bouche, les yeux, des plaies venant s’ouvrir sur son visage tellement le choc était étrangement puissant et précis dans la souffrance délivrée … Laissant le démon, pour de vrai cette fois, aux portes de la mort… Des mois et des mois de soin lui seront nécessaires. Eclaté au sol, baignant dans son sang, il posait là la première pierre sur les fondations du continent. Un empire de cruauté, à commencer par freiner les pulsions presque vital d’un démon de la colère : l’empêcher de l’exprimer sous peine de disparaitre.

Ainsi, pendant des années et des siècles, Abason prit son règne en main comme étant l’un des plus puissants démons des enfers. Ou plus ou moins, il était d’origine un ange après tout mais son séjour en Ira ainsi que la marque du Diable l’avait profondément changé. Il gouverna les démons avec une poigne de fer et battit son empire sur le sang des rebelles ou même de ses fidèles mais qui avaient la mal chance de le croiser lors d’un mauvais jour … Ou si eux-mêmes se sentaient un peu trop confiant en leur force pour défier ouvertement le souverain, une pratique courante puisque Abason cherchait le combat pour soulager. Son objectif personnel était la vengeance plus que n’était retourné auprès de Dieu, envers qui il ne devrait plus avoir de rancœur mais celle-ci est toujours présente, ni même retourner prés de son amour qui se révéla être fictif … Sa colère était nourris par le Diable qu’il voulait voir ramper à ses pieds.

Au fil du temps, il apprit sa place dans le monde. Ira allait être une puissante nation. Peut-être pas la plus riche mais l’une des plus influente car là où il commençait à ériger les casernes pour constituer l’armée du Diable, il finit par avoir des divisions partout en Vanitas, responsable des forces armées de chaque continents, responsable de l’entrainement, responsable des prisons qui recueillait démons et humains de tout horizon, même si ces prisons ne sont en réalité que des cages où on laissait les bêtes s’entre-tuer. Il assistait aux jeux du cirque qui donnèrent une réputation supplémentaire à sa patrie et se faisait même un point d’honneur à participer aux jeux en tant que dernier contestant.

Ainsi, il grandissait en puissance, physique comme politique, jusqu’à la disparition du Diable. Il aurait pu vouloir la place pour on ne sait quelle raisons et sans doute ira-t-il courir pour la couronne… Peut-être pour un jour se confronter à nouveau face à Dieu et voir ce qui ressortira de cette rencontre… Mais en toute honnêteté, les deux solutions lui allaient. Devenir le nouveau Diable ou attendre que le vrai revienne …Si il revient … Cela lui épargnera du temps en recherche pour venir le détruire ensuite, briser ses chaines et boire son sang.








« Unbreakable »


Abason n'est pas un grand mage, malgré que la plupart des anges ou démon ont une magie de base, un pouvoir. Lorsqu'il était encore un ange, l'élément qui lui était assigné était la terre mais depuis sa transformation progressive en ange déchu puis en souverain démon, la terre est devenue Magma. Cependant, cela n'a que peu d'importance. Il emploiera sa maitrise du Magma que lors de ses brefs moment de lucidité, en générale en début de combat, si il en a besoin mais par la suite, la colère l'animant au combat ne lui permet plus d'avoir la concentration nécessaire pour jeter le moindre sort, pour élevé la moindre vague de magma. La seule chose qui l'aide réellement en combat, en relation avec cette magie, est une peau non pas solide comme la roche ou l'obsidienne mais un corps robuste résistant. Le genre de corps qui marcherait encore droit malgré une dizaine de lance plantée dans la chaire.

La vrai force d'Abason, celle qui fait de lui l'être le plus dangereux aux enfers, est sa transformation. Au plus la colère l'investit, au plus son corps se métamorphose pour donner l'apparence d'une abomination agile, puissante, mortelle. Ses griffes passent dans la roche comme dans du beurre et ses cornes lui permet de défoncer n'importe quelle portes alors que ses crocs semblent avoir été conçu non pas pour tuer mais pour mutiler les chairs. Sa métamorphose ne s'arrête pas à celle d'une bête mais c'est celle la plus connue. Qui sait ce qu'il pourrait développer encore si la rage dépasse tout ce qu'il a vécu jusqu'à lors ? Cependant, sa transformation n'est pas la seule chose qui vaut sa réputation.

C'est vrai, Abason compte sur sa force brute, ses capacités de combat pour abattre ses ennemis. Il n'est pas dénué de bon sens à la base mais sa colère l'empêche de faire autrement ... On peu donc croire qu'il se fait facilement berner par les illusions ou qu'il doit encaisser de plein fouet la plupart des stratagème magique ... Et c'est vrai. Sous forme humaine, il est capable de s'arrêter et de réfléchir mais sous forme de bête, il fonce dans le tas sans réfléchir. Cependant, ce qui lui permet de vaincre à chaque fois, malgré tout, est une endurance incroyable. Si on met au sol Abason, il se relèvera toujours tant sa colère l'anime et le pousse à ne jamais s'arrêter de se battre. Les blessures se referment vite après le combat et sa rage lui fait oublié la douleur. Il peu tomber dans tout les pièges mais il finit toujours par avoir le dessus avec l'endurance.

Les armes d'Abason sont en générale ses poings ou ses griffes sous son autre forme. Ce ne sont peut-être pas les armes les plus efficaces pour toute les situations mais c'est les plus satisfaisante à utiliser pour sa colère. Pour soutenir sa fureur, la bête utilise parfois des chaines attachées à ses poignets, en ceinture à sa taille et passant directement dans sa chair. Les chaines ont fusionné avec l'être démoniaque et elles peuvent s'étendre ou prendre la forme de pique à la fin.










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The wrong side of Heaven

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