Démon pur race, né aux Enfers de parents issus de la noblesse de Cenodoxia (ancienne région des Enfers), il a été pris en otage avec ses parents lors de la guerre opposant monstres et démons.
Ses parents furent décapités devant ses yeux, et lui réduit en esclavage. Cette situation s’acheva « rapidement », au bout de quelques mois suite au Concordia Inferus. Mais cela lui laissant le temps de mépriser ardemment les monstres.
Il se retrouva seul, dans le continent qui allait devenir Avaritia. Astaroth avait l’ambition de se venger des monstres qui l’avait ruiné lui et sa famille.
Il grandit, aussi bien physiquement qu’en puissance. Un démon d’Avaritia le pris sous sa tutelle afin de s’en servir comme soldat dans le but de prendre le contrôle du continent.
Ce démon lui apprit la diplomatie, l’art de se servir de la guerre et de la stratégie, ainsi que les points vitaux des êtres « vivants » des Enfers. Le jeune démon fit profil bas durant des années, tandis que différent clans de démons se battaient entre eux pour la conquête du continent.
Une fois devenu adulte, Astaroth se débarrassa de son tuteur en le massacrant ; littéralement un bain de sang et de tripes de démon. Grâce à son influence, il parvint à la tête du clan.
Imprévu : le Diable, ayant apprit que cette bataille prenait trop de temps, choisi le Souverain de l’Avarice, un demi-ange démon tombé en Enfers. Une certaine Mammon, qui avait dès lors commencé à former son gouvernement. Elle avait massacré tous ceux s’étant mis en travers de son chemin peu de temps après.
Astaroth, furieux et cherchant à tout prix sa gloire perdue, défia Mammon avec son armée. En peu de temps, l’armée d’Astaroth fut détruite par un unique démon aux cheveux rouges. Mammon.
Révélant son véritable nom ; Velvet ; elle lui proposa un marché : devenir son premier ministre, régner sur Avaritia à ses côtés en tant que bras droit. Astaroth accepta, dans l’unique but de la trahir plus tard.
Une fois arrivé dans le palais d’Avaritia ; dit le « Palais aux Milles Merveilles » ; Astaroth tenta de séduire Velvet, du moins de manière à ce qu’elle lui fasse confiance. Cependant, lorsqu’il l’attaqua durant un entretien privé, il fut rapidement mis à terre par la puissance de Velvet.
La punition qui l’attendit suite à sa trahison fut terrible : Velvet lui mutila le corps entier, lentement, alors qu’il ne pouvait plus bouger suite à un sortilège. Puis elle lui coupa bras et jambes à l’aide d’une des dagues qu’il possédait, avant de lui faire sortir des cristaux de couleur du corps qui se développèrent rapidement afin de former un cercueil. Des heures de souffrances pour être enfermé dans un cercueil durant plusieurs années, conscient.
Il eu le temps de repenser à sa trahison, et dès que Velvet décida de le libérer ; dans l’unique intérêt de préserver le secret de son identité ; Astaroth comprit qu’il valait mieux lui rester fidèle.
Durant des siècles, il participa activement à la construction d’Avaritia : Velvet ne souhaitant pas se montrer physiquement, elle lui transmettait les ordres et lui devait obéir et recevoir les autres Princes des Enfers et représentants officiels. Il devait par la suite lui transmettre des comptes-rendus, régulièrement.
Au bout de quelques siècles, une fois Avaritia suffisamment développée, Velvet se mit à s’absenter de plus en plus souvent. Au départ, elle ne faisait toujours pas confiance à Astaroth, lui demandait des comptes-rendus fréquemment et le faisait surveiller. Mais plus le temps passait, plus elle lui laissait de liberté.
De plus en plus absente, Velvet laissa le sort d’Avaritia entre les mains d’Astaroth étant donné qu’elle ne rentrait qu’une fois par mois. Elle lui fait enfin confiance, mais Astaroth ne cherche plus à la trahir : il est comme le Souverain de l’Avarice actuellement, même si il ne l’est pas vraiment et qu’il reste soumis à l’autorité de Mammon ; ou Velvet.
Astaroth s’occupe actuellement de tous les contrats, accords et réceptions officiels. Il est la plupart du temps à Avaritia, mais il lui arrive de voyager dans d’autres contrées en tant qu’invité de marque.
- Vous avez la possibilité d’agrémenter son histoire comme vous le souhaitez, du moment que vous respectez les éléments principaux lors de votre réécriture. -